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En somme, nous
Sédimentaire distance
Comme si l'Histoire avait fermé les yeux
Une pause espace/temps
Traversée de Sahel
Où en sommes-nous ?
Une ondée, sur le quai de ce printemps
Elle ne crépite pas, dans la poussière déposée
Exhale un Tchad de cuir et de cire noire
Antilopes d'ébène falsifiée
L'Histoire ouvre les yeux
Mémoire irriguée de lumière
Chari dépositaire
17 mars 2015
Tags : poésie, sixième volet
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Commentaires
3Clément G. SecondJeudi 19 Mars 2015 à 16:068tidjinJeudi 17 Mars 2016 à 14:48
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Il sent l'Afrique ce poème frétillant de quelques heures à peine... Souvent là-bas ou tout le temps y es tu ?