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Cinquième volet
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Par Volets ou vers le 1 Octobre 2014 à 21:50
Le ventilateur ne brasse que la lumière
Et les volutes d'un air de saxo dans la rue
Peut-on parler d'absence ?
L'impression à ce point
D'être ployée toute
Vers toi
C'est presque vrai que l'on est bien
Sous l'ajour des dernières frondaisons de l'été1er octobre 2014
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Par Volets ou vers le 22 Septembre 2014 à 17:25
Une fois désossées les choses
Que l'on se bavarde seul
Dans la tête
Que reste-t-il
De tous ces mots que l'on rature
De toutes ces froissures dans nos états de l'âme ?
A peine formulée
Toi et Toi
Flammes follettes22 septembre 2014
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Par Volets ou vers le 7 Septembre 2014 à 18:17
Il est des silences précipités que rien n'arase
La lumière me tient en joue
Rémanente, chargée de joie
Je ne bouge plus
Réfugiée dans cette part d'exil qui est tienne
Attablés tous les trois
Ton silence, la lumière et moi
7 septembre 2014
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Par Volets ou vers le 1 Septembre 2014 à 15:42Nuit immobilecomme si elle ne devait jamais finirGoûter la lune, pleinement- son reflet dans l'eau à peine frisé -J'ai des idées à chasserqui me fourmillent au bout des doigtsSeulement dénouer l'aubecomme un ciel s'éventre au palmier voyageuret coucher là son ombrejonchée de brins d'étoiles27 août 2014
1 commentaire -
Par Volets ou vers le 1 Septembre 2014 à 15:41Sous la paupière soulevée des nuagesUne enjambée de nacre en cielLamelles de feuillagesLeur ombre ciselée sur l'ondulée des toitsEt toi, subliminalComme l'éclat blanc fugace des oiseauxAbsence barbareIndissolubleMême les arbres morts ont le port flamboyant19 août 2014Paru au Capital des Mots
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