• En somme, nous

    Sédimentaire distance
    Comme si l'Histoire avait fermé les yeux
    Une pause espace/temps
    Traversée de Sahel
    Où en sommes-nous ?
    Une ondée, sur le quai de ce printemps
    Elle ne crépite pas, dans la poussière déposée
    Exhale un Tchad de cuir et de cire noire
    Antilopes d'ébène falsifiée
    L'Histoire ouvre les yeux
    Mémoire irriguée de lumière
    Chari dépositaire

    17 mars 2015

    « FlorilègeSarment fantaisie »
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  • Commentaires

    1
    helene Py
    Mercredi 18 Mars 2015 à 18:46

    Il sent l'Afrique ce poème frétillant de quelques heures à peine... Souvent là-bas ou tout le temps y es tu ?

    2
    Mercredi 18 Mars 2015 à 23:26

    De plus en plus, Hélène. J'y replonge yes

    3
    Clément G. Second
    Jeudi 19 Mars 2015 à 16:06

    Énigmatique et pourtant participable. Beau. Il va si loin. Merci again, Colette.

     

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    4
    Dimanche 29 Mars 2015 à 21:19

    nostalgie, nostalgie... Et c'est toujours beau de le lire :-)

    5
    Dimanche 29 Mars 2015 à 21:20

    de TE lire, je voulais dire ! sarcastic

    6
    Lundi 6 Avril 2015 à 23:49

    Vous gonglez avec les mots et en tirez des sons musicaux!

    7
    Jeudi 17 Mars 2016 à 12:54

    Portée. Veut dire que tu emportes, et qu'il y a de la musique, aussi. 

    8
    tidjin
    Jeudi 17 Mars 2016 à 14:48

    Nostalgie-magie-images....

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