• Sillage

     

    Matins poudrés de mauve, la forêt
    Il souffle comme un mirage
    Et le perlé des rires dans le vent
    Tu as laissé l'enfance à l'adret des frontières
    Où nous aimions aller
    Je ne t'attendrai plus au pied de ce silence
    Sur ce versant du monde, soleil cristallisé
    L'élan de la lumière, le lasuré des ombres
    Les rives de l' hiver ailleurs nous relient
    Ailleurs nous rejoint
    Il souffle un vent froissé d'échos perdus
    L'heure est au grandir loin
    Et puis dans ton sillage
    Il en manquerait une
    sur trois ébouriffées

     

    Octobre 2011

     

    « Ce qui devientGroumpf »
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  • Commentaires

    1
    Mercredi 2 Décembre 2015 à 16:11

    Je ne t'attendrai plus au pied de ce silence... 

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