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Les grandes guibolles
Un millier de mes pas sur cette route.
Mon tout petit marchait courant, en va et vient, allait venant.
Un millier de mes pas pour quatre milliers des siens.
Maintenant c'est le contraire, en admettant – ce qui est rare –
que nous marchions ensemble encore.
Pour quatre de mes pas, n'en fait qu'un.
Pour le suivre, je marche courant, allant seulement.
Et ce n'est plus la même route.
Mon tout petit, va, vis.
Deviens.
31 janvier 2016
Tags : poésie, chroniques, huitième volet
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Commentaires
2YeS te disLundi 1er Février 2016 à 07:03Maintenant , ils se chaussent en sept "lieux" .
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Lundi 1er Février 2016 à 09:08
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3BrunoLundi 1er Février 2016 à 08:38Bonjour , des poésies toujours aussi sympathique , tu régale face book , merci à toi à bientôt !
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Lundi 1er Février 2016 à 09:08
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4BrunoMardi 2 Février 2016 à 09:00J'ai beaucoup de travail en ce moment pour la réfection de mon atelier galerie, (deux trois mois ) nous nous téléphonerons si tu le veux bien , un jour , alors à bientôt Colette . Br
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"Mon tout petit marchait courant, en va et vient, allait venant" Ah que j'aurai aimé l'écrire ce vers-chronique. Le reste aussi mais surtout celui là.
Ils font toujours comme ça, les tout petits n'est-ce pas ? (je n'ai pas fait exprès que cela ressemble à un vers :-)