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Les fleurs de mars
Des grains de terre
Me coulent dans les chaussures
Quand les semelles ripent
Sur le chavire battu de vent
Et je claudique, tu vois
La pensée comme un pas à pas
C'est dans l'air du temps
Un parfum de prière
Aux églises sans parois
Il se dit des murmures
Des bourrasques de brise
Il bruine des pépites de grésil pétillant
Au soleil insolent une tombe frangée
De l'eau des pluies salées
Ainsi les giboulées déposent des fleurs de mars
Coquillages de collier au Terminal Départs
Kiss and Fly à perpétuitéMars 2012
Tags : poésie, troisième volet
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Commentaires
Oh pour très plus tard alors ! Mais qui partira avant l'autre ?
Je t'invite au jour de la mienne à venir dessiner ma maison. Celle de là-bas ou d'ailleurs ou d'ici, c'est comme tu voudras.
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Je t'invite le jour de ma mort que je me souhaite pour pas tout de suite, pour bien plus tard, je t'invite le jour de ma mort, à moins que ce ne soit la nuit de ma mort, on ne peut pas dire, je t'invite à venir me dire tes poèmes, pour que je m'endorme heureux d'avoir vécu. Enfin si ça ne t'ennuie pas!